Le sujet posée a l examen est rarement une
pure questionne de cours qui ferait appelait aux ceux connaissances de
candidats. La dissertation juridique implique de la part de l’étudiant un
travail de synthèse et de construction à partir de connaissance (assimilés au
cours ou dans un manuel) correspondant à des matières et prépayé dans plusieurs
parties de programme.
Ils ont résultent que la dissertation
exige de la part de candidat un choix dans la connaissance étudié qu’il doit
posséder sur chaque question.
La dissertation
réussit n’est pas celle au candidat récite parfaitement son cour mais celle ou
il fait preuve d’un esprit constructif de synthèse grâce auquel il élabore une
œuvre original à partir de ses connaissance. La dissertation est une œuvre
d’intelligence et non de mémoire.
Avant de
passer à la rédaction de sa composition, l’étudiant doit dans l’importance:
A- Lire
attentivement le libellé du sujet : afin de ne pas s’égarer sur une fausse
route, aucun sujet n’est posé ce forme duvetine. La lecture correcte du sujet
permet aux candidats de comprendre qu’on lui demande. Cette première lecture
vise à illimité les frontières du sujet. Exemple : si la questionne à traiter
est : « la règle de la non rétroactivité de la loi », la délimitation du sujet
consiste exactement la matière : En allons de général au particulier (on
n’applique pas une loi nouvelle à des faits juridiques anciens), constate que
ce sujet concerne l’application de la loi, plus spécialement l’application
rétroactif ou non rétroactif de la loi qui
est un des problèmes se lever par l’application de la loi dans le temps.
B-Une fois
délimité les frontières générales de sujet, il convient de s’attacher à l’étude
de la questionne posée. Le candidat doit faire le point de la questionne,
l’envisagé sous tout ses aspects. C’est seulement après ce travail de réflexion
qu’il pourra trouver un plan et bâtir la composition. La questionne qui se pose
c’est comment faire le tour d’une questionne sans perdre de vus aucun aspect.
1-Dresser la
liste des institutions juridiques concernées par le sujet, déterminer la
matière juridique sur laquelle on raisonnera qu’on exposera.
2-Dégager le problème
fondamental : dans certains cas, le sujet est posé de façon telle que ce
problème est apparemment dans l’intitulé même de la dissertation. Exemple :
dans un sujet sur la non rétroactivité de la loi, la problématique est celui de
l’application de la loi dans le temps, mais la questionne fondamentale de
l’application des lois c’est le problème de l’arbitraire législatif de la
protection de citoyen contre cette arbitraire qui met en prise les individus de
l’Etat à propos de l’application des lois.
3- Dégager
les idées générales de sujet : la réflexion sur le problème fondamentale
conduit à dégager les idées dominant cette questionne. Il est nécessaire de
rattacher l’objet à l’étude à ses idées générales des problèmes généraux
d’ordre sociologique ou philosophique. Ainsi que un sujet sur la rétroactivité
de la loi qui pose le problème des rapports contre l’individu et l’Etat dans la
création des lois et dominer par quelques générales qu’il convient de mettre en
œuvre dans l’introduction. Exemple: les dangers de l’arbitraire législatif,
l’idée qu’il se rattache à la discussion philosophique sur le droit naturel,
que la force de l’autorité public n’est pas la seule justification de droit.
4-Déterminer les
intérêts du sujet : Toutes questionnes de droit révèle un conflit ‘intérêt
divergeant conflit entre l’individu et l’Etat, ou conflit entre intérêt
particulier. Ses intérêts doivent être analysées dans l’introduction, ainsi
seront soulignés les aspects pratiques et humains de sujet, les intérêts en
présence, la valeur et le degré de protection qu’il semble nécessaire de
reconnaître à chaque d’eux. Il appartient au candidat de dégager le conflit des
intérêts si ceux-ci ne sont pas nominent visé dans l’intitulé de sujet.
5-réfléchir aux
différentes solutions juridiques susceptibles d’être apporté aux problèmes se
lever. En droit, les conflits d’intérêts sont tranchés soit la prééminence
accordée l’un sur l’autre ou par l’harmonisation, la conciliation de prétention
divergente. La solution susceptible d’être apporté à un même problème peut
variées selon les époques ou les systèmes législatifs. Les différentes
solutions rationnellement concevable doivent être recherché par l’étudiant
parmi ses solutions figures évidemment cette de notre droit positif mais, notre
droit n’est qu’une des réponses possibles à un droit positif propre à un pays
et de rechercher les divers solutions théoriques et possibles, et effectivement
appliquées selon les époques et les pays.
I-Recherche
et choix d’un plan: Conception général du sujet :
Conception
général du sujet : l’introduction en général doit comporter en
propre un résumé de sujet.
Choix du plan
:
un même sujet peut être traité selon plusieurs plans. Il appartient au candidat
de choisir parmi les plans possibles, celui qui lui parait le meilleur. Il n’y
a pas le plan type. Le plan est de fonction de l’orientation qu’on tant aurait
du sujet.
Règles
communes à tous les plans :
-Le plan doit
être justifié et annoncer par l’introduction.
-Le plan peut être divisé en 2 ou 3
parties, chaque partie doit avoir un intitulé qui lui est propre.
-Le titre de
chaque partie doit être aussi bref au possible, il doit être différant de
L’intitulé
général d’une partie de sujet.
II- Rédaction
de la dissertation :
La
dissertation juridique se compose de l’introduction, de développement en 2
parties et conclusion (en choix).
L’introduction
et les parties doivent être équilibrées, l’introduction peut représenter approximativement un quart ou même une trière
de l’ensemble de devoir, toutes disproportions excessives pendant le
développement révèle soit une insuffisance de connaissance ou d’imagination,
soit une faute de plan.
A-L’introduction:
1-) Buts de l’introduction:
l’introduction a pour rôle :
a-de poser le
sujet ou délimiter les frontières.
b-de se lever
le problème général auquel se rattache la question.
c- de dégager
les intérêts en conflit.
d-de rechercher
les solutions concevables montrant comment qu’une d’elle satisfait ou méconnaît
tel intérêt.
e-de poser les
questions sur le terrain de droit positif, et d’indiquer sans plus
l’orientation de ce droit éventuellement ou dévoilant. L’introduction doit
conduire logiquement un plan, il convient donc de dégager dès le cours de
l’introduction les 2 ou 3 parties qui constituant la charpente de votre
travail. C’est autour de ses points constituant le futur plan que l’introduction
doit être bâtie.
f-d’annoncer le
plan clairement d’une manière claire et sans ambiguïté.
2-) Les
éléments à utiliser dans l’introduction:
a- les éléments
de droit positif : ils ne doivent être utilisés qu’à titre très accessoire
(texte de loi ou de code, jurisprudence…)
Le droit est le contenu des règles de droit
régissant la matière sera étudié dans les parties. On pourra toute fois dans
l’introduction faire des allusions au droit positif à titre indicatif.
B- arguments
doctrinaux: lorsque le sujet s’y prêt, on peut faire état dans l’introduction,
les théories et les doctrines qui ont été élaborées dans la matière. L’analyse
des arguments doctrinaux pourra être le plus souvent rattachée à celle des
arguments rationnels car c’est la doctrine à publier sur la question et
précisément pour proposer certaines solutions qui rationnellement se sont
imposées à l’esprit des auteurs.
3)-présentation
des divers éléments de l’introduction:
Chaque sujet
exige une introduction qu’elle lui soit adaptée. Il n’y a pas une introduction
générale type. Cependant quelques règles doivent être respectées :
a- les
premières phrases de l’introduction peuvent attaquer directement le sujet par
exemple, on définissant ceux dont il s’agit (la rétroactivité de la loi), mais
il est indispensable d’élever immédiatement le débat en rattachant le sujet à
un problème plus général.
b-dégager les
intérêts en conflit.
c-rechercher
les solutions concevables.
d-poser la
question sur le terrain de droit positif.
e-dégager les
lignes générales et la présentation retenue.
f-annoncer le
plan
B-
Les parties :
Elles sont
destinées à l’administration d’un point de vue par la critique de droit positif
:
a-étudier le
contenu de droit positif.
b-adopter un
point de vue critique et non pas seulement descriptif.
C-utiliser les
textes, la jurisprudence, la pratique.
d-assurer une
transition entre les deux parties.
e-chaque partie
doit être subdivisée en plusieurs points.
C-
Conclusion :
Elle est facultative
non utilité et négligeable. La démonstration est faite dans le cœur de
dissertation et tous les intérêts du sujet figurent dans l’introduction. Eviter
la répétition de ce qui a été dit.
On peu
éventuellement évoquer quelques prescriptif de l’avenir ou l’utilité d’une
réforme, d’une évolution.
Exemple :
La
dissertation juridique (cas pratique) :
Le non rétroactivité de la loi pénale
(principe général de droit).
1-Le
fondement du principe.
2-La
référence : Art : 5, 6 et 7 de la loi pénale.
3- La
conséquence : sauvegarder la liberté des citoyens.
4-C’est
l’exception qui confirme le principe, sans exception il n’y a pas de principe.
- Exception
de la loi pénale : la loi la plus douce: dans l’interprétation, il y a une loi
sévère et une loi moins sévère, le juge
est toujours obliger d’appliquer la loi la moins sévère.
Le
développement :
I La non
rétroactivité au niveau de la loi de fond :
- les
incriminations.
-Les peines.
-Les mesures
de sûreté.
II-La non
rétroactivité au niveau de la loi de forme :
-la
compétence de tribunal.
- Unicité ou
collégialité.
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